Comment retirer facilement les DRM d’un livre numérique au format ePub

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On l’a beaucoup dit : les DRM (dispositifs de cryptage des livres numériques empêchant leur copie ou leur prêt) ne servent à rien, ils enquiquinent les acheteurs légitimes et sont de toute façon faciles à contourner pour les pirates malhonnêtes. En ce qui concerne ce dernier point, en voici la démonstration.

MAJ du 29/10/2013 : Pour supprimer facilement les DRM de vos livres numériques, utilisez DeDRM.

Le fichier utilisé dans l’exemple est le premier épisode du Vaisseau ardent de Jean-Claude Marguerite. J’ai choisi ce livre parce qu’il se trouve que je voulais le lire depuis un moment et que la version papier ne rentre pas dans mon sac. J’y prends d’autant plus de plaisir qu’il s’agit d’un roman mettant en scène des pirates et que les DRM ont été imposés par le Groupe Gallimard contre l’avis de l’éditeur et de l’auteur.

Il va de soi que pirater un livre numérique pour le distribuer gratuitement est un acte que cet article n’encourage en aucune façon – et je le dis sans hypocrisie, étant moi-même gérant de la plateforme numérique du Bélial’. L’objet de cet article est simplement de montrer que le retrait des DRM d’un fichier ePub est un acte d’une facilité déconcertante, à la portée d’à peu près n’importe qui.

Outre l’argument idéologique, supprimer les DRM d’un fichier ePub peut aussi avoir un intérêt pratique : utiliser ses fichiers ePub avec DRM Adobe sur une plateforme non-compatible, comme l’iPhone/l’iPad.

La méthode suivante a été testée avec un livre acheté légalement chez l’ami Bibliosurf (donc via la plateforme ePagine et le distributeur EDEN), sous Windows 7 (C’est théoriquement possible aussi sur Mac, mais l’installation de Python et PyCrypto est plus corsée). Ma liseuse est le Sony Reader PRS-600.

Décortiquons un livre numérique avec DRM

Une fois le livre acheté, on reçoit par courriel un lien pour télécharger un fichier URLlink.acsm. Il ne s’agit pas du livre lui-même (le fichier ne pèse que 4 ko) mais d’un fichier XML, avec diverses informations pour identifier le client et le livre acheté. On l’ouvre avec Adobe Digital Editions, on s’identifie avec son ID Adobe et le véritable livre numérique se télécharge. On peut alors le lire directement dans ADE ou le transférer sur sa liseuse compatible avec les DRM Adobe.

Si l’on est curieux et que l’on se rend dans le dossier où ADE stocke les livres numériques (C:UsersClémentDocumentsMy Digital Editions pour ma part), on découvre un fichier Le_vaisseau_ardent_episode_1.epub tout ce qu’il y a de plus normal. On peut le disséquer sans difficulté (un fichier ePub étant en réalité un fichier Zip avec une extension .epub) même si ça n’est pas nécessaire pour le craquer. Une fois à l’intérieur, on distingue une différence avec les ePub sans DRM : les fichiers rights.xml et encryption.xml qui contiennent naturellement les informations de droits et d’encryptage.

Une autre différence, donc, est que les fichiers HTML contenant le texte du livre sont cryptés. Voici par exemple à quoi ressemble un chapitre du Vaisseau ardent :

epub_encryption.png

Pas idéal comme confort de lecture. Evidemment, Adobe Digital Editions et ma liseuse se chargent de décrypter tout ça pour m’afficher un livre en français plus traditionnel. Par contre, imaginons que je veuille lire mon livre acheté légalement sur mon iPhone (ou iPad) avec iBooks… et là, c’est le drame.

ibooks_drm_error.png

Solution : acheter une nouvelle fois le livre avec des DRM Apple s’il est disponible sur l’iBookstore (en l’occurrence, non), en trouver une version piratée sans DRM (mais dans ce cas, pourquoi l’acheter au départ ?), ou retirer les DRM de notre propre fichier ePub. Et justement…

Supprimons ces saloperies de DRM de notre livre numérique acheté légalement

Voici donc la méthode simple, comme promis. On va utiliser un script Python pour décrypter le fichier, ce qu’il signifie qu’il faudra installer Python. Il n’y a rien de plus compliqué dans cette méthode qu’installer des logiciels, créer des dossiers et y déplacer des fichiers. Allons-y !

  1. Une fois le livre numérique téléchargé dans Adobe Digital Editions grâce à notre ID Adobe, on récupère le fichier ePub équivalent qui se trouve dans le dossier Digital Editions (par défaut dans notre dossier système Documents).
  2. On télécharge et on installe Python (logiciel permettant de faire tourner les scripts en langage python).
  3. On télécharge et on installe PyCrypto (logiciel de cryptographie écrit en langage python). Attention à bien prendre la version de PyCrypto correspondant à la version de Python que vous avez installée (actuellement, la 2.7).
  4. On télécharge les scripts Python ineptkey.pyw et ineptepub.pyw qui vont permettre de décrypter notre fichier ePub. On les trouve très facilement en cherchant sur Google.
  5. On double-clique sur le fichier ineptkey.pyw : celui-ci va récupérer la clé qu’utilise Adobe Digital Editions pour crypter les fichiers et créer avec un nouveau fichier adeptkey.der (ADEPT pour Adobe Digital Experience Protection Technology, les fameux DRM d’Adobe)
  6. On double-clique ensuite sur le fichier ineptepub.pyw, qui nous propose trois champs à remplir : Key file, qui contient par défaut le fichier adeptkey.der que l’on vient de créer (on n’y touche pas), Input file, où l’on pourra sélectionner notre fichier ePub protégé et Output file, dans lequel on choisira où enregistrer le nouveau fichier ePub sans DRM.
  7. Une fois les trois fichiers sélectionnés, on clique sur Decrypt, et c’est terminé !
(Si vous obtenez l’erreur Problem decrypting session key, il est possible que votre version du fichier ineptkey.pyw soit trop ancienne, téléchargez une version la plus récente. A l’heure où j’écris ces lignes, la bonne est la 4.3 pour Adobe Digital Editions 1.7.2.)

Nous voilà maintenant avec un beau fichier ePub dépourvu de DRM ! On peut l’utiliser sur n’importe quel support de lecture gérant le format ePub (soit à peu près toutes, sauf le Kindle d’Amazon) y compris ceux ne gérant pas les DRM Adobe, comme l’iPhone.

epub_ibooks_nodrm.png

Elevons-nous dans la joie

Achetez des livres numériques, téléchargez des livres numériques, retirez les DRM de vos livres numériques, lisez des livres numériques, prêtez vos livres numériques à vos amis, mais c’est tout. Ne les envoyez pas sur les sites pirates ou sur les réseaux P2P, sous peine de donner raison aux éditeurs frileux qui bardent leurs fichiers de DRM ou de décourager ceux qui prennent le risque de s’en passer.

Tout artiste a droit à une rémunération pour son oeuvre, s’il le souhaite. Si certaines expériences montrent que la mise à disposition gratuite d’un texte (piraté ou non) peut en faire décoller les ventes (comme le Blindsight de Peter Watts ou plus récemment le comic Underground de Steve Lieber), ce n’est pas forcément le cas. 

Quoiqu’il en soit, c’est à l’auteur et à lui seul de décider d’une éventuelle mise à disposition gratuite de ses textes, et pas à nous. Il y a trop d’auteurs au Bélial’ qui refusent la publication de leurs livres en numérique par peur du piratage (sans réaliser, d’ailleurs, que c’est précisément l’absence de version numérique commercialisée qui encourage le piratage). N’encourageons pas cette paranoïa.

A lire aussi :

Contrat Creative Commons

Comment retirer facilement les DRM d’un livre numérique au format ePub by Clément Bourgoin est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution-NonCommercial-ShareAlike 3.0 Unported. N’hésitez donc pas à reprendre cet article intégralement pour le proposer ailleurs. Dans la mesure du possible, merci de ne pas vous contenter de reprendre la partie technique et d’y inclure aussi la partie idéologico-militante.

Quelques sites qui ont repris ou cité l’article :

36 réponses sur “Comment retirer facilement les DRM d’un livre numérique au format ePub”

  1. Vous avez osé, bravo! Cette possibilité de retirer rapidement et a priori facilement les DRM est un argument indéniable en faveur de l’achat d’ebooks même « protégés ». Et pour la suppression de ces bestioles inutiles et onéreuses. Toute ma solidarité face à l’ire prévisible du lobby des archéo- et des frileux !

  2. Bonjour,
    Merci pour cette approche didactique d’un retirage de DRM sur e-pub.
    Je viens d’essayer (ma liseuse e lit pas les DRM et je viens d’acheter le dernier e-book de FAYE  » Nagasaky ») sans succès.
    Mais, je suis 100% MAC et le double clic sur le fichier « ineptepub.pyw » ne me propose rien qu’un script barbare.
    Existe t-il ces fichiers pour MAC (j’ai installé sans problème les deux applications Python) ?
    Merci de votre réponse.
    Cordialement

  3. Je n’attends personnellement qu’une chose pour me lancer dans l’achat d’une liseuse : l’abolition des DRM. En France – comme d’habitude – on freine des quatre fers et l’on bétonne au maximum : TVA 20% / prix unique / prix identique au livre papier / impossibilité de télécharger légalement un livre numérique à l’étranger … et si l’on comprenait enfin qu’il s’agit d’un NOUVEAU marché ? Mais la France a peur de l’avenir, pas les anglosaxons. Je lis beaucoup moins par manque de place et ainsi je fais une sélection drastique à l’achat – chose qui n’arriverait pas avec le livre numérique où je pourrai me permettre d’acheter en plus des livres de pur divertissement…

  4. Il existe sur le web une archive (rar) nommée AdobIneptWinV3. Elle est trouvable sur des lieux de perdition comme de bien entendu. Une fois téléchargée on la décompresse, ce qui créé un répertoire avec tous les outils qui vont bien. Ensuite, dans ce répertoire, on copie son epub ou son pdf vérolé et on double clic sur le programme Crack. Et voilà !
    Cela marche donc pour les epub comme pour les pdf pollués par des DRM Adobe. Et c’est encore plus simple que la méthode de Clément.

  5. C’est complètement idiot de faire ça !

    Les DRM existe dans les jeux vidéo depuis pas mal d’années. Résultat de courses ? Les éditeurs dépensent de plus en plus d’argent pour protéger leurs jeux du piratage. Donc augmentation des charges pour les éditeurs -> augmentation du prix de jeux.

    Je pense qu’inciter ce genre de comportement sera nuisible pour les éditeurs et ainsi que pour les consommateurs. Je rejoins l’avis sur le fait qu’il ne faut pas acheter d’eBook avec DRM. C’est tout !

  6. L’initiative est audacieuse ! Il faut avant tout faire prendre conscience du caractère subversif des DRM qui encourage les pirates, et décourage les lecteurs. Demain je croise ton initiative avec celle de Charles Kermarec sur mon blog, le fond des poches, pour relayer le message.

  7. Mobipocket et DRM.

    Supprimer le DRM des fichiers mobipoket est aussi facile. C’est ce que je fais: j’achète des livres sur Amazon et puisque ma liseuse (SONY) ne peut pas lire ce format, je supprime le DRM, prends Calibre et convertis en epub ou LRF (format de Sony).
    Les détails (en anglais): http://nyquil.org/archives/1235-Con

    Je pense que PDF devrait fonctionner avec le même script que Clément a utilisé, si le fichier est encrypté avec DRM d’Adobe.

  8. Merci beaucoup pour la méthode même si je ne pense pas l’utiliser un jour, car par principe je refuse d’acheter un livre avec DRM.
    Et puis n’oublions pas que les DRM s’accompagnent souvent d’un prix élevé, donc c’est 2 fois non pour un achat en ce qui me concerne ! Exemple : Le vaisseau ardent, une fois tous les chapitres achetés, et bien on arrive au total de 20 € ! Beaucoup trop cher pour un fichier (même si le livre papier est un sacré pavé). Si encore le pourcentage de rénumération à l’auteur était plus conséquent, mais même pas ! En conclusion DRM + prix élevé : c’est non !!…donc si le livre pirate se voit diffuser sur le net un jour et bien je n’hésiterai pas. A l’abordage !

  9. @Irkyno > C’est faux-cul de dire que tu serais prêt à dépenser plus d’argent si l’auteur est mieux rémunéré. Il faut arrêter avec l’hypocrisie. Les gens voient le prix final et ne font aucun effort juste pour faire plaisir à l’auteur.

  10. @marroon > Parles pour toi et ne fait pas dire aux autres ce qu’ils n’ont pas dit.

    Autant que j’ai pu le constater, c’est aujourd’hui plus simple, plus rapide, moins cher, et pas plus dangereux de se procurer du contenu piraté que du légal. Dans ces conditions, s’embêter à acheter ses ebooks (ou autre) est un acte politique et militant. Si on devait s’en tenir à ton raisonnement « Les gens voient le prix final et ne font aucun effort blablabla », ce serait très simple, personne n’achèterait.

    Pour ma part je passe mon chemin s’il y a des DRM, si le format est propriétaire, si le prix est trop élevé par rapport au papier… ou si je ne suis pas d’accord avec la façon dont les revenus sont répartis. Sinon j’achète.

    D’ailleurs parmi les formules qui me plaisent bien il y a le modèle adopté par certains magazines anglo-saxons : L’abonnement papier donne droit d’office (ou pour très peu de frais supplémentaires) à la version électronique. C’est pas encore de l’epub (en général c’est au choix entre pdf et archive web), mais au moins, c’est sans DRM. Exemple de tels magazines : Nut’s and Volt’s, Servo, Communication of the ACM…

  11. @ marron : et bien tu te trompes ! En prévision de mon futur ebook reader (vivement Noël !) j’ai déjà commencé mes achats d’ebook. Pour le dernier en date, je me suis rendu sur le site d’ePagine, j’y ai mis dans mon panier le premier livre de la trilogie « Pulsion » de Jac Barron, puis j’ai sorti ma carte bleue (9€95). J’ai cependant refusé d’en faire de même avec « Mon frère Yves » de Pierre Loti pourtant vendu à seulement 1€99 car il y avait des DRM et bien d’autres encore qui pourtant me tentent bien. Voilà pour l’exemple.
    Je me suis fixé un seuil (vraiment grand maximum) de 15 € pour un ebook. Mais me connaissant (c’est sûr que tu n’es pas dans ma tête alors tu ne peux pas savoir). Je suis prête à donner plus si je suis certaine qu’une grande partie de l’argent va à l’auteur. D’ailleurs, j’aimerais beaucoup que ces derniers prennent le courage de vendre une version numérique de leurs oeuvres sur leur propre site (si cela est possible, je ne sais pas).

    @Masqurin : merci de ton soutien. Je ne suis pas une pirate dans l’âme et quelque soit le support, je n’ai jamais hésité à acheter par la suite une ooeuvre que j’ai aimé. Mais concernant les DRM, là je suis contre à 100 % et tous les moyens seront bon pour contrer les maisons d’éditions bien trop voraces à mes yeux !

    Sur ce, je vous laisse, car j’ai des courses à faire sur le site « Le belial »…

  12. @Marron (bis) : Il me vient un dernier exemple pour te montrer que que je suis prête à soutenir un auteur. J’ignore si tu connais le site Fictionpress, c’est un site ou des jeunes et moins jeunes viennent publier des histoires (bien souvent mauvaises, mais parfois quelques’unes sortent du lot). Il y en a une que j’ai téléchargé car je l’aime beaucoup. Il y a peu de temps, cet auteur (amateur) a mis son roman en vente sur son blog en version numérique. Et bien malgré le fait que je l’ai déjà, je l’ai acheté pour 5 € (qui iront entièrement dans sa poche). Voilà.

  13. Point de vue d’un auteur (du livre piraté).
    Pas question de se substituer à l’éditeur ni au libraire pour vendre mon livre en direct. Ils font un travail souvent remarquable, c’est un contrat moral entre eux et moi. Mon site ne comprend aucun lien marchand, c’est juste un relai d’informations sur Le Vaisseau ardent.
    Nous avons beaucoup bataillé pour que Le Vaisseau ardent bénéficie d’un prix d’exception, la politique du groupe Gallimard (et Antoine Gallimard est président du syndicat national des éditeurs, ce qui pourrait suffire à justifier sa position actuelle) l’affichait à plus de 25€. Nous demandions (mon éditeur et moi) 15€ – la poire a été coupée en deux (drôle de comparaison: un roman, une poire…). La publication en feuilleton permet de se faire une idée du livre pour 5€ (pour ceux qui auraient raté les 100 premières pages en PDF mise en téléchargement libre dès le mois de mai).
    Sur les DRM, nous n’avons pas eu de compromis. C’est fort dommage et néanmoins compréhensible. Le marché de l’édition numérique est tellement jeune que nul ne sait ce qu’il va devenir. C’est pourquoi mon contrat n’est pas à durée perpétuelle pour sa version électronique, contrairement à la version papier. Bien des auteurs devraient y regarder deux fois avant de signer les contrats standards…
    Sur la rémunération de l’auteur, fondée par défaut sur le prix de vente (moyenne entre les coûts de production et le prix psychologique), il y a fort à dire. Plus un livre rapporte et plus on peut consacrer de temps au suivant : je vote pour une augmentation de mon pourcentage (mais pas au détriment du porte-monaie du lecteur). Une offre m’a été faite en ce sens, fort alléchante, mais qui doit être pondérée de ma première remarque : le rôle de l’éditeur ne s’arrête pas à la diffusion d’un texte mise en page, celui d’un libraire du classement d’un titre selon le nom de l’auteur.

    Enfin, sur les DRM, voici un lien sur une étude d’APRIL (promotion et défense du logiciel libre), qui fait le point sur la question, y compris du point de vue légal.
    http://www.april.org/synthese-drm-d

  14. Bravo Clément d’avoir osé ! Je garde cet article dans mes marque-pages et me ferai un plaisir d’en transmettre le lien. Merci aussi du renvoi vers mon article, j’en suis honorée ! J’ai bouclé la boucle en y rajoutant un lien vers celui-ci. 🙂

  15. Il existe une compilation des scripts python et autres. Cela permet de télécharger un fichier de 10mo, de faire sauter les drm epub et pdf en 3 clics, et le tout sans installer python.

  16. Merci, merci, merci! je suis 100% d’accord sur le fond et en plus la méthode marche bien! Bravo, je vous ai facebooké, twittté et tout et tout. Amicalement.
    PS: j’ai aussi de vieux ebooks format pdb, ça de DRMise aussi facilement?

  17. Bonjour Clément,

    Grâce à vous, je vais pouvoir retirer le DRM sur mon livre numérique acheté à la FNAC E-book pour pouvoir le lire sur mon mobile plus pratique que le bouquin dans ma poche.
    Je vous en remercie mille fois car j’étais frustrée de ne trouver aucune solution même auprès de la FNAC pour lire mon livre autre que sur mon pc avec adobe. Encore merci et continuer à nous aider.

  18. Bonjour,
    j’ai effectuer toutes les étapes et quand j’appuie sur decrypt, le logiciel Inept epub decrypter me répond:
    ERROR: Ciphertext too large
    Comment faire pour que cela fonctionne.
    Merci beaucoup!

  19. > ERROR: Ciphertext too large

    Vous n’utilisez pas la version correcte pour ineptepub.pyw !

    Comme je l’avais écrit, mais l’auteur du billet l’ignore, les dernières versions sont (au moins) :

    — “ineptkey.pyw, version 4.5”
    — “ineptepub.pyw, version 5.2” (sinon “ineptepub.pyw, version 4.1”)
    — “ineptpdf, version 7.4”

  20. Bonjour Béranger,
    Avez-vous les liens pour les downloads? Je suis un peu dépassé par toutes ses maneuvres informatiques. J’ai tout effacé: il ne reste que Python 2.6.4 et pycrypto 2.0.1.
    Merci de votre aide.

  21. Désolé à mon tour pour mon manque de politesse, mais si c’est trop compliqué pour vous de copier un texte, de le coller dans Notepad et de l’enregistrer comme fichier, alors il faut peut-être demander à quelqu’un d’autre d’enlever la protection DRM de vos fichiers.

  22. Essai sur un PC Windows 7 x64 avec le pac :AdobIneptWinV3.rar

    c’est sans problème et en deux secondes
    Merci à : 9. Philémont mar. 16 nov. 2010, 10:12

    mon fichier était un point .epub

  23. Essai sur un PC Windows 7 x64 avec le pac :AdobIneptWinV3.rar

    c’est sans problème et en deux secondes
    Merci à : 9. Philémont mar. 16 nov. 2010, 10:12

    mon fichier était un point .epub

  24. J’ai installé ADE 1.7.2 sur mon Lenovo sous Windows xp.
    J’ai installé Python 2.7.1 et pycrypto 2.1.0 win 32-py 2.7
    J’ai les ai exécuté l’un apès l’autre
    J’ai téléchargé les fichiers de pastie 1030386 et 1110461.
    Mais j’ai toujous l’erreur Problem decrypting session key.
    Que me conseillez-vous ?

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